CHATS


COUP DE BOULE


Thomas Pesquet citation


DAVY CROCKETT


JAMES STEWART (acteur et artiste), réflexion


A PROPOS DE L’AMITIE


paréidolie

ANIMAUX VENUS DE L’UNIVERS


EVIDENCE


Pêle-mêle


ETRE ET AVOIR


On peut acheter le plaisir mais pas l’amour

On peut acheter un spectacle mais pas la joie

On peut acheter un esclave mais pas un ami

On peut acheter une femme mais pas une épouse

On peut acheter une maison mais pas un foyer

On peut acheter des aliments mais pas l’appétit

On peut acheter un médicament mais pas la santé

On peut acheter des diplômes mais pas la culture

On peut acheter des livres mais pas l’intelligence

On peut acheter l’instruction mais pas l’éducation

On peut acheter des tranquillisants mais pas la paix

On peut acheter des indulgences mais pas le pardon

On peut acheter de la terre mais pas le ciel

On peu acheter une île mais pas l’océan

SAINT PADRE PIO DE PIETRELCINA


L’un des plus grands saints du XXe siècle.

Né Francesco FORGIONE, le 25 mai 1887 à Pietrelcina, en Italie –

mort le 23 sepembre 1968 à San Giovanni Rotondo.

Plus connu sous le nom de Padre Pio, prêtre de l’ordre des Capucins,

il est canonisé le 16 juin 2002 par le pape Jean-Paul II.

Huile sur toile, 80 cm x 80 cm – 2020. Un grand merci au Père Philippe qui a béni ce portrait de Saint Padre Pio le 27 février 2021.

« Laisse tomber, mon frère, laisse publier ce que l’on voudra. Redoute le Jugement de Dieu et non celui des hommes. Fais tout le BIEN que tu peux, sans t’occuper des appréciations ou des dénigrements humains.

Eux comme toi et moi, nous serons tous jugés d’après la qualité de notre charité et de notre foi et des oeuvres qui en auront découlé. Ceux qui passent leur temps à juger, à dénigrer ou à essayer de détruire sont et seront bien à plaindre… »

Saint Padre Pio de Pietrelcina

LA TOUTE PUISSANCE DE JESUS
DE L'IMPORTANCE DE LA CROIX
L'EXISTENCE DES ANGES GARDIENS

L'IMMUABILITE DU VERBE
NOTRE MERE CELESTE
La présence contante de notre ange gardien à nos côtés

Francesco voit le jour au sein d’une famille modeste et très pieuse. Il est le quatrième de la lignée de huit enfants. Ses parents sont Maria Giuseppa et Grazio Mario Forgione.

Dès son enfance – à l’âge de 5 ans – le petit Francesco reçoit l’appel de Jésus et décide de consacrer sa vie à Dieu. Il lui faudra du temps avant de comprendre que la grâce qui lui est accordée de voir et de pouvoir converser avec son Ange gardien, Jésus et la Vierge Marie n’est pas commune à l’ensemble de ses petits camarades ni même aux adultes.

D’une nature tranquille, timide, introvertie et solitaire, Francesco se tient souvent à l’écart de ses petits compagnons pour se consacrer à la prière et à la contemplation de la nature. Il va régulièrement prier à l’église. Un matin, alors que sa maman est partie travailler aux champs, on frappe à la porte. Un frère quêteur capucin vient demander l’aumône pour les novices du couvent voisin. Francesco, alors impressionné par la présence de cet homme à la longue barbe, répondra spontanément à sa demande en lui remettant l’intégralité des économies de la famille. Il avouera ce don à sa mère, annonçant à ses parents, quelques temps plus tard, vouloir devenir frère capucin et avoir aussi une longue barbe.

Les parents, attentifs au désir de Francesco, malgré toutes les difficultés et les privations qu’il leur en coûte, aident leur fils à entrer au séminaire. En cela, il est appuyé par un oncle archiprêtre et le curé du village. Ce dernier remarque la grande dévotion à Jésus et la profonde foi qui animent le jeune garçon. Dans une annonce toute prophétique, sa mère, Maria, souffrant de la séparation engendrée par la vocation religieuse de son fils, lui dit : « Tu me déchires le coeur mais n’y fais pas attention. Suis ta vocation et que Saint François d’Assise fasse de toi un Saint ».

C’est en 1903, alors âgé de 15 ans, qu’il entre comme novice au couvent des Capucins de Morcone (province de Benevento en Campanie), content d’avoir retrouvé le frère Camillo, portier du noviciat, ce frère quêteur dont il admirait la longue barbe. Francesco prononce ses voeux et devient Frère Pio. Il force l’admiration de ses compagnons et de ses supérieurs par son comportement exemplaire et sa profonde piété. L’un des novices avouera plus tard : « Il avait quelque chose qui le distinguait des autres étudiants ».

Le 10 août 1910, à l’âge de 23 ans, il est ordonné prêtre. Il devient Padre Pio (nom qu’il prend en l’honneur du Pape Pie V). Cependant, d’une santé très fragile, il est envoyé à Pietrelcina pour une période de repos. C’est dans sa ville natale qu’il dira sa première messe.

Durant la célébration de la messe, Padre Pio vit des moments de longues pauses contemplatives durant lesquelles il entre pleinement en communion avec le Saint Sacrifice du corps et du sang de Jésus-Christ. Ses messes durent plusieurs heures. Il confie vouloir dire des messes comme n’importe quel autre prêtre mais ne pas parvenir à le faire.

Entrant souvent en action de grâce pendant la Sainte Messe, il ressent de vives douleurs dans la paume des mains.

La plupart de ses paroissiens avouent que le temps passé en sa présence, aussi court soit-il, s’avère être une expérience qui change leur vie. Ils viennent volontiers chercher conseil auprès de lui.

Au début de septembre 1911, les premiers stigmates apparaissent sur ses mains mais pas de manière permanente. Ce phénomène se reproduit presque chaque semaine jusqu’en 1918. Durant cette période, il est quasiment toujours malade. Il souffre de terribles afflictions mais en même temps, il fait l’expérience de visions célestes et de ravissement spirituel fréquents.

Le 6 novembre 1915, il est enrôlé dans l’armée mais il est libéré le 16 mars 1918 à cause de sa santé jugée trop fragile. Cette année-là, il vit la transverbération (son coeur est transpercé spirituellement mais il saigne réellement) ; il reçoit à nouveau les stigmates, visibles cette fois-ci, qu’il portera jusqu’à sa mort (mains, pieds). Le sang qui s’écoule de ses stigmates offre un doux parfum de fleurs. Ses plaies ne se cicatriseront et ne s’infecteront jamais.

Padre Pio dit qu’il souffre de la douleur de la couronne d’épines et de la flagellation du Christ. Il rapporte, dans des lettres adressées à ses directeurs spirituels, avoir également subi les assauts démoniaques de Satan et de ses serviteurs et les avoir combattus, parfois de manière sanglante. Une fois, il est retrouvé par terre, dans sa chambre, par l’un de ses frères capucins, le visage ensanglanté et les vêtements déchirés. Une autre fois, les frères capucins entendent de violents bruits émanant de sa chambre. Lorsqu’ils entrent dans la pièce, ils le trouvent prostré par terre, effrayé par l’attaque du diable qu’il vient de subir. Ces attaques seront récurrentes dans sa vie. L’abbé Augustin affirme que Satan apparaît au Padre Pio sous diverses formes cherchant à le faire faillir dans sa foi.

Mais Padre Pio, même s’il lui arrive de sortir affaibli de ses rudes combats avec le Diable, bénéficie toujours de la puissante protection de Jésus-Christ.

Padre Pio est le premier prêtre de toute l’histoire de l’église à être stigmatisé. Sa renommée grandissante qui dépasse les frontières de l’Italie gêne notablement le Vatican qui diligente une enquête ; des médecins soumettent le prêtre à toutes sortes d’analyses et d’examens médicaux mais rien ne pourra venir attester d’une quelconque supercherie. (article en cours d’écriture)

Les photos d’un ami